
Se lever le matin chez soi et se coucher le soir à Istanbul, par la magie d’un tapis volant moderne, qui protège du vent et de la pluie, certes, mais qui réduit la beauté du paysage vu d’en haut, à l'étroitesse d’un hublot.
(Viktor Vasnetsov - wiki)
Après le désagrément du panorama réduit à la portion hublotesque, il y a l’interminable queue formée de la horde des touristes, surgis aussi bien d’Orient que d’Occident, mélangeant leurs us et coutumes vestimentaires devant les guitounes de la police...
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