
J’ai écrit la première partie de cette chronique en ayant lu seulement la moitié du roman de l’auteur en question. J’en avais déjà assez sous la plume et je trouvais même que c’était du lourd, à mon niveau évidement, je ne prétends à rien sinon à écrire ce que je ressens en rapport avec ce que je lis. J’étais effaré de découvrir l’ampleur de l’efficacité des mentalités que l’on m’avait fourrées dans le crâne à travers mon éducation catho (une dizaine d’années d’écoles confessionnelles quand même en primaire et secondaire) à...
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