10 juillet 2013
49 Et on m'appelle (èèèl) l'occidental...
J’ai croisé la route de Samira C. en juin 1992. À l’époque, cette accorte Tunisienne d’une quarantaine d’années, offrait généreusement à la vue de ses interlocuteurs une longue et ondulante chevelure de jais qui lui tombait sur les épaules. Il me semble...